Ces voix qui m’enivrent et m’arrachent le cœur. Ces voix qui arrêtent le temps et puis la vie. Plus rien n’a d’importance. Seule la mélodie compte. Ecouter encore et encore. Sentir son corps transporté par la musique qui s’élève, la poitrine qui se gonfle, la gorge qui se contracte et puis pleurer. De joie et de tristesse. Pleurer cette douleur que les voix fredonnent dans un murmure, et puis appuyer sur Off : Retour dans la vie, la vraie, celle qui fait mal.